Après trois semaines de représentations, le spectacle Mary Sidney alias Shakespeare mis en scène par Aurore Evain se retire, avec de belles critiques. Celle faite de Laura Cappelle pour le New York Times met en lumière l’importance de questionner l’identité auctoriale, et surtout de l’enjeu qui peut en ressortir si c’est au profit d’une femme.
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« Yet over the course of two hours, with just two lecterns and a few projections, Evain, who is also a theater historian, presented such a wide range of circumstantial evidence drawn from Williams’s “Sweet Swan of Avon” — as well as potential rebuttals, with vivid help from the actress Fanny Zeller — that I started questioning my own beliefs. »
